Aux Émirats arabes unis, une employée de maison a été accusée d'avoir tué et torturé intentionnellement la fille de son employeur, âgée de neuf mois.
Une enquête a été ouverte aux Émirats arabes unis contre une femme de ménage de 28 ans d'origine indonésienne.
La femme est accusée d'avoir battu intentionnellement la fille de l'employeur, âgée de neuf mois, ce qui a entraîné la mort de la fille. Selon le dossier, la femme de chambre a frappé l'enfant, l'a jeté au sol, puis s'est frappé la tête avec un objet tiers. La fillette a été emmenée à l'hôpital Al Qassimi, où elle est décédée des suites d'une blessure à l'unité de soins intensifs.
Lors d'un examen médical, une hémorragie interne et une fracture de la base du crâne ont été révélées
Cependant, la femme de chambre nie les allégations, bien qu'elle ait avoué lors d'un interrogatoire par la police.
Le père de la jeune fille s’adressa immédiatement à la police, apprenant que des actes de violence conduisaient à la mort. Il a dit qu’il soupçonnait la femme de chambre parce qu’elle passait tout son temps avec l’enfant, car sa femme, la mère de la fille, en était à son septième mois de grossesse et ne pouvait s’en occuper. Il a également déclaré que des caméras de surveillance étaient installées partout dans sa maison, à l'exception de la chambre à coucher, et que la femme de chambre, sachant cela, battait la fille dans cette pièce.
«Nous n’imaginions pas que la jeune fille avait été battue par la bonne, même si un jour, nous avons remarqué des ecchymoses sur son corps», a déclaré le père.
Cependant, dans un établissement médical, le médecin l’a assuré que les bleus étaient dus à la vaccination.
L’homme a ajouté que la police avait retrouvé de nombreux objets de culte liés à la sorcellerie après l’arrestation de l’accusée.
Le juge président Hussein Al Usovi a ajourné l'affaire jusqu'à ce que ses parents et la femme de chambre témoignent.
